Voilà bien des lunes que ça s'est passé... Mais je m'en rappelle tout à fait bien...
C'était le 28 Martalo 639... J'étais parti seul, avec mon bateau, pour me couper un peu du monde... J'en avais marre de manger du Trool au dîner... Alors j'ai pris le large.
Lors du deuxième jour, une tempête me força à naviguer à vue, mes instruments étant débousselés. Et c'est ainsi que mon bateau, "The Green Laboratory", coula.
Je me réveillai sur une plage. J'ai tout de suite pensé à l'île d'Otomaï, étant donné qu'un Corailleur me regardait avec des yeux qui voulaient dire "je te farcirai bien avec des moules..."
Je me suis relevé en vitesse, et j'ai couru jusqu'à ce qui semblait être une maison...
Dedans, je découvris des sortes d'expériences, des choses gluantes et d'autres matières indescriptibles... Ce qui était bien, c'est que je n'étais pas seul sur l'île...
En effet, un vioc' muni d'une canne me faisait des signes avec un majeur tout fripé... Je me dis que j'allais l'ignorer... C'est ainsi que j'engageai la conversation :
-Bien l'bonjour, vieil homme. J'ai fais naufrage sur cette île, auriez-vous l'obligeance de m'offrir l'hospitalité s'il vous plaît ?
Il me répondis d'une façon que je ne décrirai pas, au risque de blesser certaines âmes sensibles... Et il sortit.
Je pris donc le choix d'examiner les lieux, pour essayer de trouver une arme et retourner au restes de mon bateau. Je découvris une magnifique hache.
À la simple vue de ma hache, le Corailleur prit la lourde décision de s'enfuir. Je pus donc retourner à l'épave pacifiquement.
C'était le 28 Martalo 639... J'étais parti seul, avec mon bateau, pour me couper un peu du monde... J'en avais marre de manger du Trool au dîner... Alors j'ai pris le large.
Lors du deuxième jour, une tempête me força à naviguer à vue, mes instruments étant débousselés. Et c'est ainsi que mon bateau, "The Green Laboratory", coula.
Je me réveillai sur une plage. J'ai tout de suite pensé à l'île d'Otomaï, étant donné qu'un Corailleur me regardait avec des yeux qui voulaient dire "je te farcirai bien avec des moules..."
Je me suis relevé en vitesse, et j'ai couru jusqu'à ce qui semblait être une maison...
Dedans, je découvris des sortes d'expériences, des choses gluantes et d'autres matières indescriptibles... Ce qui était bien, c'est que je n'étais pas seul sur l'île...
En effet, un vioc' muni d'une canne me faisait des signes avec un majeur tout fripé... Je me dis que j'allais l'ignorer... C'est ainsi que j'engageai la conversation :
-Bien l'bonjour, vieil homme. J'ai fais naufrage sur cette île, auriez-vous l'obligeance de m'offrir l'hospitalité s'il vous plaît ?
Il me répondis d'une façon que je ne décrirai pas, au risque de blesser certaines âmes sensibles... Et il sortit.
Je pris donc le choix d'examiner les lieux, pour essayer de trouver une arme et retourner au restes de mon bateau. Je découvris une magnifique hache.
À la simple vue de ma hache, le Corailleur prit la lourde décision de s'enfuir. Je pus donc retourner à l'épave pacifiquement.